account_circle
Register
menu
person
Premium Avatar
Skráðu þig inn
Register
Finished - 01:59
Andy Murray
4
5
0
0
0
David Ferrer
6
7
0
0
0
Murray
-
Ferrer
Score
2h04
C'est une énorme surprise de voir Murray chuter face à Ferrer qu'on pensait être le joueur le moins dangereux dans ce Groupe A. L'Espagnol prend donc la tête de la poule en attendant le match qui opposera Djokovic à Berdych ce soir (20h00 à Londres, 21h00 en France). Tout va être plus compliqué pour Murray qui n'a plus le droit à l'erreur maintenant.
1h59
Jeu, set et match Ferrer !
1h59
Set 2
1h59
5
-
7
4-6 5-7
+
1h58
30-40, balle de match pour Ferrer qui vient chercher son salut au filet !
1h55
Et un ace pour conclure ce jeu de service que Ferrer s'adjuge sans problème. Murray va de nouveau être sous pression sur sa propre mise en jeu.
1h54
5
-
6
4-6 5-6
+
1h50
Muray tient son service ! Le combat continu et la tension monte dans l'O2 Arena.
1h50
5
-
5
4-6 5-5
+
1h45
Pas de problème pour Ferrer sur son service. Murray va maintenant servir pour rester dans le match alors qu'il a compté par deux fois un break d'avance dans ce set.
1h43
4
-
5
4-6 4-5
+
1h43
Jamais deux sans trois. Comme à chaque fois depuis le début du match, Ferrer débreak dans la foulée et c'est Murray qui lui offre le jeu sur une vilaine double faute. L'écossais semble aimer jouer avec le feu et il y a de grandes chances qu'il finisse par se brûler.
1h40
4
-
4
4-6 4-4
+
1h35
Reste maintenant à savoir si Murray va parvenir à conserver son avantage cette fois-ci.
1h35
Et le break dans la foulée pour Murray qui s'est montré très solide en fond de court, finissant par faire craquer Ferrer qui a tout de même été moins précis sur ce jeu. Le contre-coup des balles de break manquées ?
1h33
Murray tient bon malgré deux balles de break à défendre. L'écossais semble devoir être dos au mur pour vraiment s'engager pleinement dans ce match.
1h33
4
-
3
4-6 4-3
+
1h30
3
-
3
4-6 3-3
+
1h25
Ferrer vire en tête dans cette deuxième manche. Il s'évite un jeu qui aurait pu s'avérer compliqué en décochant deux aces à 30-30 et 40-30. L'Espagnol donne réellement l'impression de vouloir davantage la victoire que son adversaire.
1h22
2
-
3
4-6 2-3
+
1h21
Débreak blanc de Ferrer qui n'a presque rien eu à faire sur ce jeu. Murray a en effet aligné trois fautes directes dont une sur un smash qui semblait pourtant tout fait. Tout est à refaire pour l'écossais.
1h19
2
-
2
4-6 2-2
+
1h15
Ferrer se fait un peu peur en se laissant rejoindre à 40-40 après avoir mené 40-0 mais il se ressaisit bien et tient son service.
1h14
2
-
1
4-6 2-1
+
1h11
Break confirmé pour Murray face à un Ferrer qui semble avoir un peu perdu sa concentration.
1h10
2
-
0
4-6 2-0
+
1h09
Break d'entrée de deuxième set pour Murray ! Le kiné aurait-il fait des merveilles ?
1h07
1
-
0
4-6 1-0
+
1h06
C'est reparti dans l'O2 Arena. Murray va devoir vite corriger le tir s'il ne veut pas grandement se compliquer la tâche dans ce groupe A. Encore faut-il qu'il en ait les moyens.
1h04
Difficile de dire d'où Murray souffre exactement mais il doit s'agir de l'adducteur, du quadriceps ou peut-être bien de la fesse qui l'avait contraint à déclarer forfait avant l'ATP 500 de Bâle. A confirmer.
1h00
Murray a demandé un temps mort médical. Il se fait actuellement manipuler la jambe gauche par le kiné du tournoi.
0h58
Cette fois c'est la bonne, repoussé par une balle très profonde de Ferrer, Murray n'ajuste pas bien son placement, part en arrière au moment de la frappe et dévisse complètement son coup droit qui file dans le couloir.
0h56
Nouvelle balle de set pour Ferrer !
0h56
Set 1
0h56
4
-
6
4-6
+
0h56
Sauvée ! Murray tient bon du fond du court et c'est Ferrer qui fini par craquer et expédier son coup droit dans le couloir.
0h55
Balle de set pour Ferrer sur le service de Murray qui enrage.
0h46
Le match a maintenant un peu perdu en intensité, les fautes se font plus nombreuses de part et d'autre. Ferrer a dû batailler ferme pour remporter sa mise en jeu après avoir sauvé une balle de break. Murray va servir pour rester dans cette première manche.
0h45
4
-
5
4-5
+
0h38
4
-
4
4-4
+
0h34
Un petit mot sur le niveau de jeu dans cette partie. Le match a débuté sur de très bonnes bases et l'intensité est encore montée d'un cran au cours des derniers jeux. Les deux joueurs défendent à merveille, et ils ont beaucoup de mal à se déborder mutuellement. La supériorité attendue de Murray ne se vérifie pas sur le court pour l'instant et Ferrer fait même bien plus que de la simple résistance, il pose beaucoup de problèmes au Britannique.
0h32
3
-
4
3-4
+
0h29
3
-
3
3-3
+
0h21
2
-
3
2-3
+
0h18
2
-
2
2-2
+
0h14
2
-
1
2-1
+
0h05
1
-
1
1-1
+
0h00
0
-
1
0-1
+
Jeu de service
Break
Inconnu
Latest flashs flash
Un an après, Shelton a conquis les tifosi : “On a l’impression d’être dans un stade et de jouer pour son pays” En 2023, Shelton, perturbé par un stade très largement hostile, avait été battu dès le deuxième tour à Rome. Cette année, c’est avec le soutien des tifosi romains qu’il a gagné son match. Opposé à Pavel Kotov (63e), le 14e mondial a parfaitement renversé un match qu’il avait mal commencé pour s’imposer en plus de 2h30 (4-6, 6-3, 6-4). Porté par un public italien déchaîné, Shelton semble avoir réussi à séduire des spectateurs qui ne l’avaient absolument pas soutenu l’an passé, lors de sa défaite face à Alexander Bublik. Interrogé sur la ferveur dégagée par le public romain, l'Américain a tenu à rendre hommage aux tifosi, qui rendent les matchs spéciaux : “J’aime l’énergie que j’avais. C’était comme un match de football, honnêtement, ils soutiennent vraiment le tennis. Ils aiment le tennis. On a l’impression d’être dans un stade et de jouer pour son pays ou quelque chose du genre. La plupart de mes fans dans la foule aujourd’hui étaient italiens, mais oui, j’ai eu l’impression d’avoir beaucoup de soutien. [...] Vous savez, j’ai joué contre Bublik ici. L’année dernière, j’étais à l’autre bout, la foule me huait et chantait pour lui, et j’étais à l’opposé des huées cette année, dans ce match. C’était génial.”
Battu d’entrée, Ruud rassure sur son état physique : “Ce n’est rien de grave” C’est la grosse surprise de ce début de tournoi romain. Casper Ruud, 7e mondial, a été éliminé dès le deuxième tour. Opposé à Miomir Kecmanovic, qu’il avait pourtant facilement battu à Madrid (6-4, 6-1), le Norvégien a chuté (0-6, 6-4, 6-4) Auteur d’un début de saison sur terre battue de très haut niveau (finaliste à Monte-Carlo, titré à Barcelone), Ruud déçoit quelque peu depuis Madrid où il avait été battu dès les huitièmes (par Félix Auger-Aliassime). Ce vendredi, le double-finaliste de Roland-Garros a d’abord survolé le match avant de ressentir une gêne au dos qui l’a empêché de servir correctement. Questionné par la télévision norvégienne, le meilleur tennisman de l’histoire du pays a tenu à rassurer tout le monde : “Ce n’est rien de grave, ce n’est pas une blessure ou quelque chose avec lequel j’ai lutté auparavant. Il y a une petite torsion ou rotation dans la partie inférieure du dos. C’est fou. La plupart des gens qui ont déjà eu ce genre problème au dos savent que ce n’est pas amusant. Au tennis, vous tournez d’un côté à l’autre tout le temps, il n’est donc pas avantageux d’obtenir cela dans un match de tennis.”
Nadal va tout faire pour réussir à s’aligner à Roland Garros : “Etre à Roland Garros et faire de mon mieux” De retour à la compétition depuis un petit mois, l’heure de dresser un premier bilan est venue pour Rafael Nadal. A deux semaines de Roland-Garros, le roi de l’ocre va bientôt devoir prendre une décision très importante : jouer ou non à Paris. Après un premier tournoi de Barcelone très peu rassurant (battu par De Minaur au deuxième tour sans briller), le Majorquin a évolué à un bien meilleur niveau à Madrid. Prenant sa revanche sur son bourreau de Barcelone, il a même réussi à enchaîner trois succès consécutifs avant de céder face à Lehecka en huitièmes. Très rassurant, surtout en comparaison avec ce qu’il avait proposé en Catalogne, le Majorquin est arrivé en Italie avec une certaine confiance. Beaucoup de gens s'attendaient à voir ‘Rafa’ monter encore un peu en puissance, il a finalement quitté la ville éternelle après seulement deux matchs. En Italie, le bilan n’est pas glorieux : un premier tour laborieux remporté après presque trois heures de match (4-6, 6-3, 6-4 face à Zizou Bergs) puis, surtout, une lourde défaite au deuxième tour face au numéro 9 mondial (6-1, 6-3). Alors qu’il s’est confronté au mur que peut parfois représenter le top 10 mondial, celui qui a remporté 14 fois Roland-Garros a été questionné sur les chances, existantes ou non, de le voir jouer à Paris une dernière fois. Bien que très déçu, l’Espagnol ne ferme absolument pas la porte : “Maintenant il y a deux voies possibles : l'une d'elles serait probablement de dire : 'ok, je ne suis pas prêt, je ne joue pas assez bien', c'est alors le moment de prendre la décision de ne pas jouer à Roland-Garros. Une autre est d'accepter comment je suis aujourd'hui et de travailler de la bonne manière pour essayer d'être mieux dans deux semaines. [...] La décision, comme vous pouvez l'imaginer, n'est pas claire dans mon esprit aujourd'hui. Mais si je dois dire quel est mon sentiment, si mon esprit penche plus d'un côté que de l'autre, je dirais : être à Roland-Garros et faire de mon mieux. Physiquement, j'ai quelques soucis, mais probablement pas encore assez pour dire que je ne participerai pas à l'événement le plus important de ma carrière. Voyons ce qui se passe, comment je me sens mentalement demain, après-demain et dans une semaine. Si je me sens prêt, je vais essayer d'être là et de me battre pour ces même choses pour lesquelles je me bats depuis 15 ans.” (propos relayés par L’Equipe).
Questionnée sur les tifosi romains, Garcia relativise : “Ce n’est pas un problème” Caroline Garcia a réussi son entrée en lice à Rome. Opposée à la locale Elisabetta Cocciaretto (56e), Garcia a logiquement eu l’honneur du Centre Court ce vendredi. Après un bon début de match où elle a dominé une adversaire inférieure tennistiquement (6-2 au 1er set), la Française s’est fait très peur. Porté par un public romain survolté, Cocciaretto a réalisé un début de deuxième acte canon lui mettant la pression. Dans une ambiance électrique, où les tifosis ont tout fait pour porter leur joueuse, ‘Caro’ a finalement trouvé les ressources pour s’éviter un dernier set au combien périlleux. S’adjugeant 5 des 6 derniers jeux du match, c’est finalement au terme d’un tie-break très tendu que la Française s’est imposée en un peu plus d’1h30 (6-2, 7-6). Interrogée en conférence de presse sur la fureur dégagée par le public italien, Garcia a voulu calmer le jeu : “Évidemment, comme dans n’importe quel autre pays, les supporters italiens veulent s’illuminer et s’enthousiasmer. Je pense que j’ai eu de la chance aujourd’hui, ce n’était pas excessif, c’était respectueux et évidemment, on attend des fans qu’ils encouragent leur joueur. Surtout à Rome. Ce n’est pas un problème tant qu’ils sont respectueux et respectent certaines limites liées au tennis C’est aussi très amusant pour le tennis et le sport, nous préférons toujours un public énergique à un public silencieux et ennuyeux.” (propos recueillis en conférence de presse).
Largement battu par Hurkacz, Nadal s’avoue déçu : “Je me sentais plus prêt que ce que j’ai montré” Rafael Nadal n’est plus le monstre indéboulonnable qu’il a longtemps été. Il faudra bien s’y faire. D’un niveau de jeu branché sur courant alternatif, l’Espagnol offre bien moins de garanties cette année. Après un bon tournoi de Madrid, ‘Rafa’ semble progresser à l’entraînement mais n’arrive pour l’instant pas à reproduire ce type de performances en match. Ce samedi, il a été grandement dominé par un très bon Hubert Hurkacz (6-1, 6-3). Ce type de résultats à de quoi effrayer. Pourtant, interrogé en conférence de presse, le Majorquin s’est montré déçu mais pas alarmiste : “Cela a été difficile, évidemment. J'ai bien commencé le match. Sur les deux premiers jeux, presque une demi-heure, j'ai eu des opportunités et j'ai plutôt bien joué. Ensuite, j'ai un peu perdu la façon de le repousser, la façon de causer des dommages dans son jeu. Le score du premier set est un peu trompeur, je pense quand même. Ensuite, il a été bien meilleur que moi dans le second. [...] Il a bien servi. C'était difficile pour moi de retourner et de le pousser à la faute. Il faut accepter cela. C'est une journée difficile pour moi à tous les égards car je me sentais plus prêt que ce que j'ai montré. C'est un mauvais feeling de ne pas pouvoir montrer sur le terrain ce que je ressens en termes de jeu. Cela me fait douter, d'une certaine manière. Comme je l'ai dit en début de tournoi, je suis plus imprévisible aujourd'hui. Il faut accepter ça. Trop de doutes. Trop de questions dans tous les sens, sur différents points du jeu. C'est ça.” (propos recueillis en conférence de presse). Questionné sur son refus de voir le tournoi de Rome lui réserver une cérémonie d’honneur, Nadal a avancé une explication plutôt surprenante. En effet, il explique n’avoir jamais assuré qu’il s’agissait de son dernier tournoi Italien : “Je n'ai jamais dit que ce serait mon dernier tournoi ici. Je l'ai dit à Madrid parce que c'était le cas. Ici, je ne suis pas sûr à 100 %. C'est probablement 98 %... C'est un sentiment différent ici par rapport à Madrid, une histoire différente. Je ne m'attendais à aucune cérémonie, honnêtement.”
video Latest video + all
13:40
742 missing translations
Please help us to translate TennisTemple