Il adore l'ambiance, le spectacle, il adore divertir la foule. Et puis vient cette période de la saison où il ne reste que quatre minutes de lumière du jour par jour, vous voyez ?
On arrive sur le terrain à la lumière, et quand on en sort, il fait déjà nuit. Partout où il joue, il fait nuit à 16h15. Si je ne me trompe pas, Sinner correspondrait mieux à ce profil : il arrive, fait son travail et s'en va. Carlos, en revanche, aurait peut-être besoin de plus d'inspiration. »